La santé étant considérée par tout le monde comme la première richesse, l’homme a tout fait pour bien l’entretenir ou encore la recouvrer en cas de maladie. Pour éviter des charges trop lourdes financièrement, contacter une assurance santé parait l’idéal. Pourtant, chaque compagnie d’assurance définit ses propres termes du contrat. En effet, ils déterminent les limites de la couverture de l’assurance. Dans cette optique, certains assureurs n’ont pas hésité à insérer des délais de carences pour les cas des assurances santé.
Dans son principe, une assurance a pour mission de se substituer à son client lorsqu’un fait juridique apparait dans la vie de ce dernier. Effectivement, il y a une assurance pour tout. Assurance maladie, assurance incendie, assurance santé, et cetera. Pour le cas de l’assurance santé, les compagnies ont trouvé bon de créer ce délai pour une raison particulière. Dans leur politique de la prévention contre les abus effectués par les souscripteurs, le recours à ce délai est vraiment nécessaire. Dans la pratique, pendant toute la durée de la carence, l’assurance n’est pas tenue de payer les frais médicaux de son client. En général, cette durée est immuable, mais il est possible de négocier le délai de carence sous certaines conditions. A noter que ce délai prend place au début de la souscription du contrat.
Techniquement, négocier le délai de carence d’une assurance santé consiste à demander l’abrogation du dit délai. Pour y arriver, il faut d’abord choisir une assurance avec les mêmes garanties que l’assurance précédente. Après il faut demander la radiation à cette assurance antérieure. C’est seulement là que le nouvel assureur pourra abroger le délai de carence de la seconde assurance. Par ailleurs, il faut quitter la précédente assurance, avant l’échéance du contrat.
Au cas où la peur de ce délai martèle la conscience des souscripteurs, certaines compagnies d’assurance proposent des assurances sans délai. Contracter ce genre de convention, c’est bénéficier de la couverture de l’assureur, tous les jours de l’année. Mais il est à signaler que les garanties offertes par cette assurance sont moindres, comparées à celle qui contient le fameux délai. Donc, si le client a besoin d’une intervention lourde en matière de santé, il va falloir préconiser l’assurance avec le délai de carence. Cependant, pour les interventions légères, l’assurance sans carence suffit amplement. De surcroit, pour les mutuelles d’entreprise, la législation en vigueur ne permet aucune carence.
Les frais vétérinaires représentent un budget important pour les heureux propriétaires d’animaux de compagnie. En effet, sa santé est primordiale. Le budget moyen pour la santé varie d’un animal à un autre. Les préventions et les soins réguliers s’élèvent à environ 200 euros. Par contre, en cas de maladies ou d’accidents, la facture peut augmenter. Voici ce qu’il faut savoir pour préparer le budget santé de votre animal de compagnie.
Les soins réguliers d’un animal de compagnie sont composés en majorité par ceux préventifs. Les vétérinaires encouragent fortement ces types de soins. D’autres sont même obligatoires. Le budget moyen de santé annuel doit prendre en compte ces dépenses. D’abord, il y a les visites de routine, à savoir une à deux fois par an. Ensuite, il y a les vaccins qui sont obligatoires. Pour la première année, vous devez débourser le double, puisqu’il y a deux injections. En moyenne, les vaccins coûtent entre 50 à 80 euros par an.
La castration et la stérilisation font également partie des soins préventifs. Leur coût varie d’un animal à un autre et de leur sexe. Toutefois, le prix moyen tourne autour de 100 à 150 euros. Enfin, le vermifuge fait partie des soins de routine incontournables. Votre animal a besoin d’un traitement deux fois par an. En tout, le budget moyen pour la santé d’un animal concernant les soins courants tourne autour de 300 à 400 euros par an.
Les maladies représentent un coût variable. Pourtant, elles représentent ¾ du budget moyen pour la santé d’un animal. Selon les statistiques, les chiens sont souvent sujets à des maladies digestives et des maladies de la peau. Les chats sont, quant à eux, sujets à des problèmes urinaires.
Les frais vétérinaires dans ce cas varient d’une maladie à une autre. Toutefois, le budget moyen est de 300 euros, sauf si votre animal a besoin de séances de radiothérapie. Dans ce cas, le budget peut tripler, voire quadrupler.
Les animaux de compagnie ne sont pas épargnés par les accidents. De ce fait, il est nécessaire de les prévoir dans votre budget. Suite à un accident, la facture dépend de la gravité des blessures. En plus des soins, si votre animal a besoin d’une rééducation, les frais vétérinaires peuvent atteindre les 800 euros. Pour les soins légers, comme soigner une blessure, le prix tourne autour de 100 à 150 euros. Dans le cas d’une torsion de l’estomac, une maladie qui survient chez certaines races de chien, les frais vétérinaires peuvent atteindre les 1500 euros. Ainsi, définir le budget moyen pour la santé d’un animal relatif aux accidents est difficile.
Pour certaines personnes, les animaux de compagnies occupent une place non négligeable dans leurs vies. Ainsi, ces personnes n’hésitent pas à prendre soin de ces derniers comme si elles prenaient soin de leurs propres corps. Pour répondre à leurs besoins, des cliniques se sont spécialisées dans le domaine du monde animal. Les vétérinaires abondent actuellement les rues, mais il faut savoir que les honoraires de ces spécialistes peuvent s’élever jusqu’à atteindre un montant astronomique.
Avoir un animal dans sa vie aide de nombreuses personnes à diminuer leurs stress. Mais comme tout être vivant, il arrive que cet animal tombe malade. Pour ne pas s’écrouler sous le poids des frais du vétérinaire, il faut souscrire à un contrat d’assurance. En effet, en contrepartie d’une allocation mensuelle, la compagnie d’assurance peut prendre en charge les dépenses liées aux divers traitements pour que l’animal recouvre sa santé. Dans cette optique, l’assureur peut couvrir le remboursement des soins vétérinaires. Cela peut aller de la simple consultation à la grande chirurgie. Par ailleurs, les séances de castration et échographies peuvent aussi faire partie du domaine de remboursement effectué par l’assurance.
La plupart du temps, le remboursement des soins vétérinaires dépend énormément de la catégorie et l’espèce dont l’animal est issu. Pour les animaux domestiques courants, tels que les chiens, les chats ou les perroquets, la prise en charge est totale. En revanche, pour les animaux rares et exotiques comme les wistitis et les caméléons, la compagnie d’assurance peut restreindre le remboursement à seulement une partie des frais. Cette politique de remboursement à deux vitesses est justifiée par la raison suivante. Beaucoup d’études et analyses ont été menées concernant les maladies potentielles qui peuvent atteindre les animaux comme les chiens et autres. De ce fait, il est plus facile de déterminer plus ou moins à l’avance le montant des frais du vétérinaire, en cas de survenance d’une maladie. Les animaux exotiques quant à eux renferment encore une part de mystère. Par conséquent, le cout de leurs traitements n’est pas encore prévisible.
Le remboursement des soins vétérinaires est propre à la compagnie d’assurance. Notamment en ce qui concerne la méthode de remboursement. Pour certains, il suffit que le propriétaire de l’animal présente sa feuille de soin, et l’assurance va payer directement le vétérinaire qui s’occupe du traitement. Pour d’autres, le propriétaire doit payer lui-même les frais et après, il demandera un remboursement ultérieur à l’assurance.
L’assurance animaux permet de mieux protéger votre type d’animal. En effet, en raison de sa beauté, sa jovialité, sa protection et son animosité, certains animaux font l’objet de domestication et d’assurance afin de couvrir son propriétaire des éventuelles responsabilités civiles à la suite des dommages physiques ou matériels pouvant leur être causés. Sur ce, faut-il déjà savoir quels types d’animaux sont couverts par ladite assurance?
En premier lieu, il s’agit d’une assurance maladie au profit de votre type d’animal domestique. L’objectif étant de couvrir à la fois sa santé et les frais (chirurgicaux, hospitaliers, médicaux) et les consultations vétérinaires s’y rapportant, et ce, à la suite d’un éventuel risque d’accident ou problème de santé ou la vieillesse. Les primes versées peuvent couvrir une opération chirurgicale ou autre. En second lieu, celle-ci couvre la responsabilité civile du fait des animaux à une tierce (personne ou animale ou matérielle). Sachez que le Code civil français responsabilise le propriétaire de l’animal domestique du fait qui peut causer du dommage à une tierce. En troisième lieu, les primes versées par mois dans le cadre de l’assurance animaux peuvent couvrir la prise en charge des frais d’enterrement de votre animal. Sachez que vous allez coûter cher les frais de son décès dans le cas ou vous n’avez pas souscrit une assurance animaux….
En général, le type d’animal qui pouvant faire l’objet de couverture en assurance animaux comprend les animaux domestiques. Ces derniers peuvent comprendre le chat (angora turc, chat européen, chat-tigre, chartreux, croisé, Maine coon, persan, ragdoll, sacré de Birmanie, siamois, etc.), le chien (American ST, berger allemand, bouledogue français, cavalier KC, chihuahua, croisé, golden retriever, labrador retriever, jak RT, yorkshire terrier, etc.), le furet, le lapin, le lionceau, le singe, le reptile, le tigre, etc.
De prime abord, il faut procéder à des comparatifs, en ligne ou physiques, des différentes offres proposées par les différents assureurs avant de choisir le vôtre et signer le contrat assurance animal. À ce titre, vous devez observer la différence de qualité du service client, la différence de prix, le type d’animal domestique couvert, etc.). Ensuite, vous devez également définir au préalable sa race, son âge (en général, dans l’intervalle de 4 mois à moins de 10 ans), le nombre d’animaux domestiques (habituel, nouvel animal de compagnie, de chasse ou dangereuse) à couvrir et les indemnisations à percevoir. Il faut aussi payer le montant maximal annuel de garantie et les franchises, les exclusions de garantie (telles que les oiseaux et les poissons, la chirurgie esthétique, les frais de tatouage, les infirmités congénitales, les maladies, les opérations de convenance, etc.) et les délais de carence.
Depuis toujours, chaque personne est soumise aux aléas de la vie. À n’importe quel moment, le malheur peut frapper, souvent, sans prévenir. Les accidents, les incendies et les cambriolages figurent parmi les risques qui menacent le quotidien de tout le monde. Pour ne pas se faire prendre par surprise, des procédures ont été élaborées pour prévenir la venue de ces désagréments. Cette méthode de prévention se manifeste sous forme d’assurance.
Le cambriolage est en principe, une infraction perpétrée de manière fortuite. La plupart du temps, les cambrioleurs mettent en œuvre leurs plans machiavéliques lorsque les propriétaires de la maison partent en vacances. Par conséquent, souscrire à un contrat d’assurance reste le meilleur moyen de bénéficier de l’indemnisation d’un cambriolage. Cette assurance couvre généralement, les objets appartenant aux propriétaires de la maison. Selon le type de contrat souscrit entre le client et l’assureur, tous les objets meubles peuvent être couverts par l’assurance en cas de vol ou effraction. Les appareils électroménagers, les matériels informatiques rentrent dans cette catégorie. En outre, les objets de luxe comme les colliers et bracelets peuvent jouir de cette couverture si le contrat le permet. À noter que les articles loués par le propriétaire sont rarement indemnisés par les compagnies d’assurance, en cas de cambriolage.
Pour recevoir une indemnisation d’un cambriolage, il faut suivre pas à pas les étapes stipulées dans le contrat d’assurance. Premièrement, dès la découverte de l’existence du cambriolage, il faut immédiatement, prévenir les autorités compétentes. Cela veut dire qu’il faut émettre une plainte. Cette plainte est faite contre X, vu que l’auteur de l’acte n’est pas encore identifié à ce moment-là. Après avoir prévenu la gendarmerie ou la police, celui qui est victime de l’infraction doit se présenter à la compagnie d’assurance avec une copie de la plainte. Pour pouvoir exiger une indemnisation d’un cambriolage, il doit présenter les pièces justificatives des articles volés dans son domicile. Cette présentation a un double rôle. D’une part, elle prouve que l’objet appartient réellement au propriétaire. D’autre part, ces pièces justifient la valeur de ces objets. Pour les articles obtenus par voie de donation, les autres modes de preuves tels que la photographie et acte notarié sont acceptés.
En cas de cambriolage, il se peut que l’assurance refuse d’octroyer une indemnisation. C’est notamment le cas lorsque le propriétaire de la maison ne respecte pas les termes du contrat d’assurance. Donc, pour prétendre à une indemnisation d’un cambriolage, le propriétaire doit s’assurer que la sécurité de son domicile soit conforme aux normes exigées par l’assureur.
Les conflits liés au logement sont monnaies courants dans la vie quotidienne. La majorité d’entre eux est liée à la location : loyers impayés, nuisances sonores, litiges sur les droits de passage, harcèlement des propriétaires, pour n’en citer que quelques-uns. Néanmoins, une fois que l’affaire est soumise à l’arbitrage, ce type de problème a un coût élevé. C’est là qu’intervient l’assurance défense juridique.
Dans le cadre de l’assurance habitation, l’assureur propose la couverture des frais de justice comme l’un des choix possibles. Elle est également incluse dans les assurances multirisques habitation (MRH), qui offrent la protection la plus étendue pour votre maison. Si vous ne souhaitez pas utiliser cette fonction, vous pouvez le faire en tant qu’option supplémentaire. Les principales couvertures à souscrire sont l’assurance contre les pertes matérielles et l’assurance responsabilité civile. Elles ne peuvent toutefois pas prendre en compte les protections juridiques. Or, cette couverture s’avère utile dans la vie réelle lorsque vous êtes en désaccord avec un tiers et qu’il est difficile de régler le problème à l’amiable. En cas de conflit entre l’assuré et un tiers, l’assurance protection juridique est un dispositif supplémentaire qui fait valoir vos droits, vous soutient et protège vos intérêts dans le cadre d’une procédure judiciaire. L’assureur prend en charge les frais d’une éventuelle procédure amiable ou civile et met à votre disposition un conseil spécialisé pour vous expliquer vos droits et responsabilités.
La garantie protection juridique de l’assurance habitation peut fonctionner de différentes manières. Avant d’entamer une action en justice, l’assuré a le droit d’obtenir des détails et des conseils sur ses droits et ses possibilités de recours. L’assureur tente ensuite de résoudre le conflit à l’amiable. Tous les frais engagés au cours de la procédure sont couverts, y compris les constats d’huissier, les honoraires d’experts, les frais d’avocats, etc. En cas d’échec du règlement à l’amiable, l’assureur accompagne la personne assurée lors du procès et prend en charge les frais dans la limite des plafonds prévus par le contrat (honoraires d’avocats, honoraires de consultants, frais de justice, etc.). En fonction du contrat, cette couverture de protection juridique peut intervenir dans des domaines variés.
Des conflits avec l’assureur peuvent survenir lors de la mise en œuvre de la couverture de protection juridique, en plus des litiges avec des tiers. Il est probable que la couverture d’un sinistre soit insuffisante ou que l’assureur ne vous indemnise pas pour vos pertes. Et si vous voulez porter l’affaire devant les tribunaux, votre assureur estimera que votre réclamation échouera. En cas de litige entre l’assuré et l’assureur, un arbitre peut être nommé par consentement mutuel pour décider qui a raison et qui a tort. Si aucun compromis ne peut être trouvé, la Haute Cour administrera l’arbitrage. Rappel que, sauf abus de droit de l’assuré, les frais de l’expert sont à la charge de l’assureur.
Une assurance habitation peut couvrir vos biens matériels. Ce sont les dommages causés au bâtiment et à son contenu. Elle couvre votre responsabilité civile. Il s’agit des préjudices causés par votre faute à une tierce personne, ils peuvent être matériels ou corporels. Cette assurance prévoit d’ailleurs les indemnités pour des frais engagés dus aux sinistres.
Les risques couverts par l’assurance habitation incluent généralement la responsabilité civile de l’assuré en tant que propriétaire de l’habitation. Et aussi la responsabilité civile « vie privée » où l’assureur prend la responsabilité d’indemniser la victime. Les dommages aux biens incluent les bâtiments appartenant à l’assuré et à leurs contenus.
Les garanties dites « de base » sont inclues d’office dans le contrat. Elles couvrent les risques liés à l’incendie, aux dégâts des eaux, à l’explosion, à la tempête-neige-grêle, au gel des canalisations, au vol, et au bris de glace.
Lorsque votre contrat annonce une garantie incendie, vous êtes directement couvert contre les éventuels attentas ou actes terroristes. Grâce à un arrêté interministériel, vous êtes couverts contre les catastrophes naturelles constatées, les effets du vent dus aux tempêtes, aux ouragans et aux cyclones.
Mis à part ces principaux risques, votre assureur a la possibilité de vous soumettre toute une série de garanties se révélant utiles. Ce complément fait toujours partie des risques couverts par l’assurance habitation. En contrepartie, vous devriez verser une surprime. Les frais de remise en état, les honoraires d’expert, les frais de relogement, de mise en couverture de la maison pour réparation, de gardiennage des mobiliers, les dommages électriques sont inclus dans ces risques. Cette liste est inévitablement non exhaustive. Votre assureur pourrait vous proposer plusieurs options d’assurances suivant une conjoncture définie.
L’assurance habitation inclut également la responsabilité civile-familiale. Elle couvre les dommages financiers causés au tiers. Pour être plus claire, elle vous protège, avec votre famille, dans les cas d’accidents de la vie courante. L’assurance habitation vous couvre lorsque vous et votre famille sont à l’origine d’un sinistre. C’est le cas des dommages corporels et matériels causés à un voisin ou à un tiers et des dommages matériels causés à votre propriétaire si vous êtes locataire.
Il existe plusieurs choix d’assurance habitation comme l’assurance multirisque. Avant d’opter pour le choix idéal à votre situation, vous êtes tenus de considérer les risques couverts par l’assurance habitation. Le risque zéro incident n’existe pas.
Vision floue, migraine et nausée ? Il est peut-être temps pour vous de changer vos lunettes. Plusieurs professionnels de santé peuvent intervenir pour traiter les problèmes de vue : l’ophtalmologiste, l’opticien et l’orthoptiste. Mais au bout de combien de temps pourriez-vous faire un renouvellement des lunettes ?
Il existe deux manières d’effectuer un renouvellement des lunettes. Le renouvellement classique, la monture avec les deux verres, ne pourra être optées qu’au terme d’une période définie. Soit deux années à la suite de la dernière prise en charge pour un adulte âgé de plus de 16 ans. Et elle est d’un an, voire de six mois, pour les jeunes sujets âgés de moins de 16 ans. Si vos lunettes subissent des dégâts durant ce délai, il faut le ramener chez votre opticien. Vos lunettes devraient également être sous garantie lors de l’achat. Les verres et la monture seront ainsi pris en charge en cas de casse pendant 1 à 2 ans.
Un renouvellement anticipé est accepté depuis le 1er janvier 2020. Les adultes plus de 16 ans bénéficient d’un renouvellement anticipé de leurs lunettes au terme d’une période d’un an sous conditions. Cette action peut être réalisée par l’opticien en adaptant les consignes médicales. Vous serez facturés, bien entendu, vous serez remboursés intégralement.
Pour les enfants, jusqu’à 6 ans, le renouvellement de la prise en charge des lunettes est possible à partir de 6 mois, après le dernier remboursement d’un équipement. Ceci est uniquement en cas de mauvaise adaptation de la monture entraînant une perte de vue.
Pour les enfants de moins de 16 ans, en cas de grave dégradation des performances oculaires, avec prescription médicale ophtalmologique, il n’y a aucun délai de renouvellement. L’Arrêté du 3 décembre 2018 portant modification des modalités de prise en charge justifie la possibilité de ce renouvellement des lunettes sans délai obligatoire.
Avec votre mutuelle, en cas de perte ou de vol, un renouvellement de verres à l’identique est faisable. Car le décret n° 2016-1381 du 12 octobre 2016, garantit la durée de validité de chaque ordonnance. Elle est d’un an pour les moins de 16 ans (les enfants et les ados), de 3 ans pour les personnes plus de 42 ans, et étendue à 5 ans pour les individus entre les deux tranches d’âge. En cas de perte ou de bris des verres correcteurs, ce décret autorise également l’opticien à remplacer vos lunettes, sans ordonnance.
Le renouvellement des lunettes assure le maintient la bonne vue. À ce propos, il est utile de savoir que vous avez généralement droit à une paire de lunettes par an, tant de la part de la Sécurité sociale que de votre mutuelle.
Les services d’orthodontie comprennent les appareils et autres soins ou traitements dentaires spécialisés. Ces interventions concernent, non seulement les adultes, mais aussi les plus jeunes. Tous les régimes dentaires n’incluent pas une couverture pour ces prestations. C’est pourquoi le choix d’une option dans votre mutuelle doit faire l’objet d’une attention particulière, notamment en ce qui concerne la consultation d’un orthodontiste pour la santé bucco-dentaire.
Si un régime général de mutuelle santé ne couvre pas les services d’orthodontie, vous pouvez tout de même avoir droit à des tarifs raisonnables sur ces prestations. Les réductions peuvent vous obliger à faire appel à un orthodontiste dans le réseau de votre régime.
Avant de choisir une option pour orthodontie, vous pouvez consulter les plans de couverture, que ce soit pour les appareils orthodontiques ou les autres traitements. La plupart des garanties sont fournies en accord avec un réseau de fournisseurs de soins dentaires. Assurez-vous que s’il y a un orthodontiste que vous privilégiez, celui-ci participe au réseau du plan consulté.
Vous pouvez obtenir une couverture en orthodontie de deux façons. Si votre employeur a souscrit une assurance pour les soins dentaires, vous pouvez choisir une option pour orthodontie dans le cadre de vos prestations. Sinon, vous pouvez contracter vous-même auprès d’une autre compagnie d’assurance maladie. Un point important à considérer est la consultation d’un orthodontiste pour la santé bucco-dentaire.
Quel que soit le plan de couverture dentaire choisi, veillez à ce que toutes les prestations en orthodontie soient incluses. Il y a généralement des limites et tous les régimes ne comprennent pas une prise en charge des appareils orthodontiques. Par exemple, une option peut couvrir les appareils dentaires pour les enfants, mais pas pour les adultes. Avec une assurance dentaire, vous aurez certainement un certain plafond sur les prestations.
Tout d’abord, assurez-vous que votre option pour orthodontie puisse satisfaire à toutes vos attentes et contraintes. Assurez-vous de bien comprendre les détails de votre régime de soins dentaires afin de ne pas avoir à payer des frais imprévus.
Savoir exactement de quels traitements vous avez besoin vous aidera à trouver une assurance dentaire pas chère qui couvre les appareils orthodontiques. Bien que de nombreux régimes d’assurance dentaire incluent une option pour orthodontie, soyez conscient de tous les frais supplémentaires pouvant faire partie de votre traitement. Une fois celui-ci commencé, suivez attentivement les modalités de votre plan afin de pouvoir profiter des rabais éventuellement spécifiés dans votre contrat. N’oubliez pas que la consultation d’un orthodontiste pour la santé bucco-dentaire est une étape essentielle.
Généralement, une assurance habitation pour sa résidence secondaire est essentielle pour bien protéger sa maison de vacances par exemple. C’est un logement avec lequel les différents risques sont spécifiques. Notamment, les vols sont les plus courants actuellement, puisque la présence de son propriétaire sur le lieu pourrait être périodique. De ce fait, pour assurer une résidence secondaire, il pourrait prendre une formule particulière pour ou bien amplifier celle qu’il avait pour son habitation principale.
Pour assurer une résidence secondaire, deux possibilités d’assurance sont possibles. Le propriétaire de résidence pourrait soit demander une extension de garantie de son assurance résidence principale, soit souscrire une nouvelle assurance habitation pour sa résidence secondaire. En tant que propriétaire du logement, il n’est obligé de souscrire une assurance habitation pour son deuxième logement. Mais par contre, s’il est locataire, il devrait tenir de souscrire une garantie responsabilité civile au minimum. Par ailleurs, il sera possible aussi d’étendre les diverses garanties de son assurance multirisque habitation pour son logement principal à son logement secondaire. Cette mesure est pratiquement utilisée par les assureurs qui proposeront une extension des garanties de son contrat MRH classique (ceci moyennant une augmentation du tarif d’assurance).
La plupart des compagnies d’assurance proposent une assurance dédiée strictement à sa résidence secondaire. Ainsi, les assurances y afférentes devraient fournir au propriétaire les mêmes garanties que celles des assurances habitations classiques. Cependant, il devrait spécifiquement rester attentif à la souscription : à la clause d’inhabitation et à la garantie responsabilité civile. En effet, la clause d’inhabitation figure également sur les contrats MRH pour logement principal, concernant les garanties contre le vol. En outre, la garantie responsabilité civile figure spécifiquement dans son contrat multirisque habitation classique (dont une deuxième souscription ne serait pas utile).
Assurer une résidence secondaire permet d’impliquer quelques garanties spécifiques, pouvant être adaptées à ce genre de logement. Ces garanties concernent donc : la garantie cambriolage, vol et vandalisme (qui est vraiment indispensable selon le fait que le propriétaire du logement soit absent sur li lieu pendant plusieurs semaines ou mois par an), la garantie recours des voisins et tiers (permettant de couvrir les éventuels dommages causés aux tiers ou aux voisins) et la garantie dommages aux biens (permettant de couvrir ses biens mobiliers en cas de dommages). En réalité, la responsabilité civile n’est pas tout à fait indispensable, car elle est attachée à sa personne et non à la résidence assurée.